Reprise
:
Faire
appel
à
un
courtier
en
financement
professionnel
Dernière mise à jour le 30/05/17
1 – Comment sélectionner son courtier en financement
Les réseaux de courtiers sont, aujourd’hui, nombreux. Le repreneur va devoir donc faire sa propre sélection. Ce dernier va notamment regarder la production annuelle de crédit négociée par le professionnel. La taille du réseau peut être un critère. Un réseau reconnu et bien implanté peut avoir un certain poids face à la banque. Mais il est aussi vrai qu’un petit cabinet peut se révéler très efficace sur des dossiers particuliers comme ceux du financement d’une reprise d’entreprise.
2 – Les atouts du courtier en financement
Pour un repreneur pas forcément aguerri en matière de négociation de prêts professionnels, le courtier présente plusieurs atouts. Il connaît très bien le marché bancaire, l’évolution des taux, les spécificités de chacune des banques et leur appétence pour le financement de telle ou telle activité. Le courtier en prêt professionnel maîtrise les différents montages financiers et les pratiques des établissements bancaires. Le bon courtier va aussi s’adresser directement au bon interlocuteur et ainsi éviter quelques échelons. Pour le repreneur, cela va représenter un gain de temps non négligeable, ce qui peut être un atout important pour l’aboutissement rapide d’un dossier de reprise d’entreprise.
3 – Que va faire le courtier en financement ?
Depuis quelques années, les critères prudentiels des banques se sont clairement durcis. Les banques sont devenues beaucoup plus exigeantes sur la qualité du dossier et de l’emprunteur. Sur ce plan, l’intervention d’un courtier en financement professionnel va s’avérer fort utile. Ce dernier va revoir l’ensemble du dossier de financement présenté par le repreneur. Il va faire en sorte qu’il réponde à toutes les questions que pourrait se poser le banquier. Le courtier va déceler les éventuelles faiblesses du dossier et les travailler afin qu’elles ne soient pas un facteur bloquant pour le prêteur. Il va négocier le taux et les conditions d’octroi, mais aussi les différents services bancaires comme les divers frais de tenue de compte, l’obtention de lignes crédit court terme, etc.
4 – Quel est le coût d’un courtier en financement ?
La prestation du courtier a un coût pour le repreneur, de l’ordre de 1 à 2 % du montant emprunté. Comme pour d’autres types de prestations, le taux de ces honoraires peut être négocié.
Les réseaux de courtiers sont, aujourd’hui, nombreux. Le repreneur va devoir donc faire sa propre sélection. Ce dernier va notamment regarder la production annuelle de crédit négociée par le professionnel. La taille du réseau peut être un critère. Un réseau reconnu et bien implanté peut avoir un certain poids face à la banque. Mais il est aussi vrai qu’un petit cabinet peut se révéler très efficace sur des dossiers particuliers comme ceux du financement d’une reprise d’entreprise.
2 – Les atouts du courtier en financement
Pour un repreneur pas forcément aguerri en matière de négociation de prêts professionnels, le courtier présente plusieurs atouts. Il connaît très bien le marché bancaire, l’évolution des taux, les spécificités de chacune des banques et leur appétence pour le financement de telle ou telle activité. Le courtier en prêt professionnel maîtrise les différents montages financiers et les pratiques des établissements bancaires. Le bon courtier va aussi s’adresser directement au bon interlocuteur et ainsi éviter quelques échelons. Pour le repreneur, cela va représenter un gain de temps non négligeable, ce qui peut être un atout important pour l’aboutissement rapide d’un dossier de reprise d’entreprise.
3 – Que va faire le courtier en financement ?
Depuis quelques années, les critères prudentiels des banques se sont clairement durcis. Les banques sont devenues beaucoup plus exigeantes sur la qualité du dossier et de l’emprunteur. Sur ce plan, l’intervention d’un courtier en financement professionnel va s’avérer fort utile. Ce dernier va revoir l’ensemble du dossier de financement présenté par le repreneur. Il va faire en sorte qu’il réponde à toutes les questions que pourrait se poser le banquier. Le courtier va déceler les éventuelles faiblesses du dossier et les travailler afin qu’elles ne soient pas un facteur bloquant pour le prêteur. Il va négocier le taux et les conditions d’octroi, mais aussi les différents services bancaires comme les divers frais de tenue de compte, l’obtention de lignes crédit court terme, etc.
4 – Quel est le coût d’un courtier en financement ?
La prestation du courtier a un coût pour le repreneur, de l’ordre de 1 à 2 % du montant emprunté. Comme pour d’autres types de prestations, le taux de ces honoraires peut être négocié.