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Conseils pour reprendre une entreprise


Reprise : l’importance d’une bonne et habile prise de contact avec les salariés

Les trois premiers mois du repreneur à la tête de sa nouvelle entreprise sont cruciaux, en particulier dans sa relation aux salariés.

Comment convaincre son banquier pour la dette d’acquisition ?

Crise sanitaire ou non, la très grande majorité des repreneurs, doivent passer par un prêt bancaire pour financer le rachat de leur cible. Si le dossier de reprise est fondé et solide, l’obtention d’un prêt bancaire, sans être une formalité, n’est généralement pas l’étape la plus périlleuse de l’opération. Le repreneur devra toutefois se montrer très convaincant face au banquier et, donc, faire preuve de méthode.

Les 100 premiers jours du repreneur

Qu’il s’agisse d’une reprise d’une TPE, d’une affaire artisanale ou d’une PME de taille plus importante, les toutes premières semaines du repreneur, devenu le dirigeant, au sein de l’entreprise sont d’une importance toute particulière. Cette période, souvent appelée les 100 jours, demande de la patience, de la psychologie et de la finesse.

Le repreneur peut aussi se financer par l’affacturage

L’affacturage est une solution de financement qui doit être regardé de près par le repreneur. Il s’agit d’une alternative très intéressante au découvert ou à l’escompte. Au-delà du seul financement des créances, l’affacturage est également synonyme de gestion du poste client, de recouvrement et d’assurance-crédit.

Les méthodes pour trouver son repreneur

Les cédants de TPE, de petites PME ou d’affaires artisanales se trouvent rapidement confrontés à une problématique majeure, à savoir trouver le bon repreneur. Et, il ne s’agit pas uniquement d’une affaire d’argent. Le « mieux-disant » ne sera pas forcément le mieux placé pour pérenniser et développer l’entreprise du cédant. Le cédant ne doit pas mettre trop d’affects dans sa démarche. Cette dernière se doit d’être objective et rationnelle.

Quel statut pour le conjoint du chef d’entreprise ?

Le repreneur d’une TPE ou d’une PME prévoit, dans bien des cas, que son conjoint participe de manière régulière à son activité. Dès lors, il est obligatoire de choisir un statut qui va déterminer les droits du conjoint. Trois possibilités existent.

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