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Le repreneur peut faire appel à un courtier en financement professionnel

Dans le cadre d’une reprise d’entreprise, le recours à un courtier en financement professionnel peut être une bonne solution pour trouver son crédit bancaire pour financer l’acquisition.

Par Cyril ANDRE - le 30/05/17

Pour un repreneur d’une affaire artisanale ou d’une TPE n’est pas forcément  aguerri en matière de négociation de prêts professionnels et de rédaction du dossier de financement.  Dans ce cadre, le recours à un courtier peut s’avérer intéressant. Ce dernier bien le marché bancaire, l’évolution très précise des taux, les spécificités de chacune des banques et, surtout, les bons interlocuteurs au sein des établissements. Cela peut permettre de gagner du temps en évitant quelques étapes.

Le courtier va aussi faire gagner du temps

Depuis la crise et les évolutions réglementaires, les banques sont devenues beaucoup plus exigeantes sur la qualité du dossier. Sur ce plan, l’intervention d’un courtier en financement professionnel va s’avérer fort utile. Ce dernier va revoir l’ensemble du dossier de financement présenté par le repreneur. Il va déceler les éventuelles faiblesses du dossier et  les travailler afin qu’elles ne soient pas un facteur bloquant pour le prêteur.

Mais ce taux de ces honoraires peut être négocié. Le courtier va aussi négocier le taux et les conditions d’octroi, mais aussi les différents services bancaires comme les divers frais de tenue de compte, l’obtention de lignes crédit court terme, etc.
La prestation du courtier a un coût pour le repreneur. Celui-ci est de l’ordre de 1 à 2 % du montant emprunté. Si un courtier n’est évidemment pas indispensable pour trouver son financement, son travail va permettre au repreneur de gagner du temps et de maximiser ses chances de négocier un prêt professionnel dans de bonnes conditions. Pour plus de précision, voir notre fiche-conseil.